Tout le monde peut être pris dans un engrenage d’emprise. Ce n’est pas parce qu’on est moins intelligent, plus fragile plus ceci ou plus cela. C’est un système l’emprise et souvent, les dominants repèrent les proies et savent avec qui ça va fonctionner. Ils ne vont pas à l’endroit où ça ne fonctionnera pas. Ils vont là où ils sentent la faille qui leur permet de rentrer.
Melvil Poupaud
Frère et sœur : Vide et épure
La plupart des ingrédients sont là, mais le liant, la forme si spécifique qui permettait à son auteur de créer un espace suffisamment grand pour ses idées a disparu.
Été 85 : le manège tumultueux qu’est l’amour
Il souffle un vent de chaleur sur les côtes normandes de l’Été 85 de François Ozon. Entre suspens et passion charnelle, il nous dévoile la sombre et tragique histoire de deux adolescents qui découvrent, en même temps que l’amour, la dureté de la vie. De leur rencontre fortuite jusqu’à leur naufrage sentimental, ils seront liés durant 6 semaines et 8h par le romantisme morbide d’un pacte saugrenu : le premier des deux qui mourra ira danser sur la tombe de l’autre.
FILMS DE LA DÉCENNIE : FILMS FRANÇAIS PARTIE 1
Septième article sur le dossier des films de la décennie 2010 préparé par l’équipe de Cinémaniak. L’article accompagne le cinquième épisode du balado Cinémaniak réalisé en partenariat avec CISM 89,3.
Films de la décennie : films québécois partie 1
Premier article sur le dossier des films de la décennie 2010 préparé par l’équipe de Cinémaniak. L’article accompagne le premier épisode du balado Cinémaniak réalisé en partenariat avec CISM 89,3.
Grâce à Dieu : la vie gâchée des anges
Loin d’être anticlérical, François Ozon réalise un grand film politique qui dépasse le cadre de l’Église pour dépoussiérer une institution vieillissante inapte à se remettre en question. Sans jamais juger les proches qui n’ont pas toujours vu ou cru en la détresse des victimes, il propose un vrai sujet de réflexion sur l’acceptation de la souffrance et sur la fragilité de la foi qu’il interroge avec une humble responsabilité.
Victoria : femme au bord de la crise de nerfs
Explorant avec jubilation la condition d’une femme entravée par la rupture entre sa vie professionnelle et personnelle, Justine Triet a clôturé le Festival des films …
Laurence Anyways
Une œuvre dans la même veine que ses deux précédents opus…une légère déception en sus. ♥♥