La télévision est art un visuel et sonore. Dans cet article, on y célèbre l’aspect visuel. Couleurs, lumière, décors, cadrages, tout est un prétexte à la beauté et à l’intelligence de la communication visuelle.

La télévision est art un visuel et sonore. Dans cet article, on y célèbre l’aspect visuel. Couleurs, lumière, décors, cadrages, tout est un prétexte à la beauté et à l’intelligence de la communication visuelle.
Du cinéaste Kogonada, After Yang est une étude sur le deuil et la mémoire et leurs effets auprès de ceux et celles qui doivent survivre à la perte d’un proche.
Habitué à la provoc’ et aux images chocs, le sel de son cinéma continue ici d’irriter l’œil même si l’horreur réside ailleurs. Vortex bouleverse parce qu’il est juste, Vortex ébranle parce qu’il montre une réalité à laquelle on ne souhaite pas se confronter.
La guerre nuptiale du réalisateur québécois Maxime Desruisseaux reprend lui aussi les codes de cette esthétique pandémique, mais enlève toute trace de la maladie dans le scénario pour raconter une histoire sur l’amour, la solitude et, si possible, sauver le monde au passage.
Pour leur 20e édition, Les Sommets du cinéma d’animation proposent une programmation bien chargée.
La télévision est art un visuel et sonore. Dans cet article, on y célèbre l’aspect visuel. Couleurs, lumière, décors, cadrages, tout est un prétexte à la beauté et à l’intelligence de la communication visuelle.
La télévision est art un visuel et sonore. Dans cet article, on y célèbre l’aspect visuel. Couleurs, lumière, décors, cadrages, tout est un prétexte à la beauté et à l’intelligence de la communication visuelle.
La femme sans tête de la cinéaste argentine Lucrecia Martel propose un rythme lent et une intrigue ne prenant pas le spectateur par la main, mais une expérience riche et intéressante.