Costa-Gavras se révèle l’artisan d’une proposition prodigieuse, qui n’a de limites que son énergie et de barrières que son inventivité.
Ici, ON DÉPOUSSIÈRE les classiques – petits et grands – !
On dépoussière
Mauvais Sang : L’hyper stylisation d’un film culte
L’émotion pure, la maîtrise du 7e art, l’énergie et le sourire de la vitesse, Mauvais Sang c’est tout ça. Ajoutez-y une distribution impeccable, on arrive au film parfait.
Anne Trister : Souvenir d’une émergence queer
Anne Trister est l’un des films phares de la représentation LGBT au Québec, et ce malgré une forme et une histoire imparfaite.
Psaume Rouge : Dénonciation du plus fort
Psaume Rouge de Miklós Jancsò ne se limite pas aux prouesses techniques pour affirmer la maîtrise du septième art par le cinéaste hongrois.
La femme sans tête : Spectre d’une crise sociale
La femme sans tête de la cinéaste argentine Lucrecia Martel propose un rythme lent et une intrigue ne prenant pas le spectateur par la main, mais une expérience riche et intéressante.
Camouflage : À quoi bon la vertu ?
Campé dans la campagne polonaise, Camouflage (1977) de Krzysztof Zanussi offre un nouveau dilemme moral si cher au cinéaste.
Badlands : La limite entre le rêve et le Nouvel Hollywood
Le premier long-métrage de Terrence Malick est Badlands, sorti en 1973 en plein essor du Nouvel Hollywood, mettant en vedette Sissy Spacek et Martin Sheen.
Moulin Rouge : L’amour baroque
Baz Luhrmann, connu pour ses adaptations de Romeo + Juliet et The Great Gatsby, assume, dans Moulin Rouge, une esthétique kitsch et exubérante qui s’aligne dans l’héritage du baroque.