Afin de mieux regarder sa mère, Jane Birkin, Charlotte Gainsbourg est passée derrière la caméra. La pudeur présente entre les deux femmes se brise peu à peu.
Jane par Charlotte : Refuser de s’affranchir

Ici, ON DÉFRICHE les nouveautés des salles obscures et du petit écran !
Afin de mieux regarder sa mère, Jane Birkin, Charlotte Gainsbourg est passée derrière la caméra. La pudeur présente entre les deux femmes se brise peu à peu.
Du cinéaste Kogonada, After Yang est une étude sur le deuil et la mémoire et leurs effets auprès de ceux et celles qui doivent survivre à la perte d’un proche.
Habitué à la provoc’ et aux images chocs, le sel de son cinéma continue ici d’irriter l’œil même si l’horreur réside ailleurs. Vortex bouleverse parce qu’il est juste, Vortex ébranle parce qu’il montre une réalité à laquelle on ne souhaite pas se confronter.
La guerre nuptiale du réalisateur québécois Maxime Desruisseaux reprend lui aussi les codes de cette esthétique pandémique, mais enlève toute trace de la maladie dans le scénario pour raconter une histoire sur l’amour, la solitude et, si possible, sauver le monde au passage.
Du réalisateur ukrainien Valentyn Vasyanovych, Atlantis est une fiction dystopique qui capture la stérilité de la guerre et le désastre humain.
Cow nous plonge dans le quotidien de Luma. Dans ce portrait animalier, c’est une expérience à la fois sensorielle et émotionnelle que nous propose Andrea Arnold.
Maxime Giroux et Simon Lavoie nous ont habitués à un cinéma audacieux avec Norboug ils de mettent leur talent au service d’une œuvre beaucoup plus grand public.
Passing évoque avec finesse et pertinence les dérives d’une acculturation extrême que s’impose un des personnages principaux dans le Harlem des années 20.