La femme sans tête de la cinéaste argentine Lucrecia Martel propose un rythme lent et une intrigue ne prenant pas le spectateur par la main, mais une expérience riche et intéressante.
La femme sans tête : Spectre d’une crise sociale

Ici, ON DÉPOUSSIÈRE les classiques – petits et grands – !
La femme sans tête de la cinéaste argentine Lucrecia Martel propose un rythme lent et une intrigue ne prenant pas le spectateur par la main, mais une expérience riche et intéressante.
Campé dans la campagne polonaise, Camouflage (1977) de Krzysztof Zanussi offre un nouveau dilemme moral si cher au cinéaste.
Le premier long-métrage de Terrence Malick est Badlands, sorti en 1973 en plein essor du Nouvel Hollywood, mettant en vedette Sissy Spacek et Martin Sheen.
Baz Luhrmann, connu pour ses adaptations de Romeo + Juliet et The Great Gatsby, assume, dans Moulin Rouge, une esthétique kitsch et exubérante qui s’aligne dans l’héritage du baroque.
Avec Prenez garde à la Sainte putain, Werner Fassbinder sait cibler la douleur de sa génération avec juste assez d’acuité pour nous fendre l’âme.
Wings of Desire nous invite à aimer les gens non pas à cause de leur apparence, mais de leurs réflexions parsemées de tristesse, d’amour, de liberté.
À une époque où les films d’animation s’adressaient presque exclusivement à un jeune public, le film français La planète sauvage bouleverse cette disposition en ciblant plutôt un public adulte.
Perfect Sense, réalisé par David Mackenzie, est une oeuvre qui porte en elle des émotions à la fois grandioses et dévastatrices.