Si le synopsis ne vous inspire pas, ce seront les paysages parfaitement cadrés du nord de la campagne française qui sauront peut-être vous convaincre.
Sous le soleil de Satan : Un drame à combustion lente

Ici, ON DÉPOUSSIÈRE les classiques – petits et grands – !
Si le synopsis ne vous inspire pas, ce seront les paysages parfaitement cadrés du nord de la campagne française qui sauront peut-être vous convaincre.
Possession est évidemment un film métaphorique, mais dont la signification est difficilement déchiffrable.
Le tour de force de David Cronenberg, dans ce film, est de présenter une étrangeté presque naturelle, familière. Les raccords des séquences du jeu à la réalité et inversement apportent un principe d’incertitude, et l’identification d’un espace-temps particulier.
Costa-Gavras se révèle l’artisan d’une proposition prodigieuse, qui n’a de limites que son énergie et de barrières que son inventivité.
L’émotion pure, la maîtrise du 7e art, l’énergie et le sourire de la vitesse, Mauvais Sang c’est tout ça. Ajoutez-y une distribution impeccable, on arrive au film parfait.
Anne Trister est l’un des films phares de la représentation LGBT au Québec, et ce malgré une forme et une histoire imparfaite.
Psaume Rouge de Miklós Jancsò ne se limite pas aux prouesses techniques pour affirmer la maîtrise du septième art par le cinéaste hongrois.
La femme sans tête de la cinéaste argentine Lucrecia Martel propose un rythme lent et une intrigue ne prenant pas le spectateur par la main, mais une expérience riche et intéressante.