Tarantino filme les illusions d’une époque en plein changement où Sharon Tate incarne la princesse souriante tandis que DiCaprio personnifie un chevalier chancelant, épaulé par son fidèle serviteur (Brad Pitt). Derrière la légèreté de l’époque, se cache une critique à peine voilée des apparats du showbiz et de ses starlettes éphémères.
Ici, ON DÉFRICHE les nouveautés des salles obscures et du petit écran !
On défriche
sons of denmark : la marque de l’extrémisme
Visuellement très sombre et expressif, le premier long métrage de Ulaa Salim frappe fort avec des images saisissantes.
1BR, nouveau membre recherché
Malgré la lenteur des scènes de sectorisation, la fin du film est extrêmement jouissive, surtout pour un public aussi expressif que celui de Fantasia.
MIDSOMMAR : LUMIÈRE EXTRÊME
Avec Midsommar, son second film, Ari Aster propose une toute autre exploration du genre de l’horreur. Si visuellement ses deux longs métrages n’ont pas de véritable connexion, Aster semble poursuivre son exploration de la maladie mentale comme thématique. Une œuvre unique qu’il est nécessaire de déchiffrer et démystifier.
THE GANGSTER, THE COP, THE DEVIL : COURSE CONTRE L’ENFER
Avec The Gangster, the Cop and the Devil, le réalisateur Lee Won-tae revisite le genre du polar coréen en se risquant à retravailler certains de ses codes.
Appartenir à san francisco?
Le nouveau venu dans le cinéma indépendant américain, Joe Talbot, réalise un premier film ambitieux sur le plan visuel de même que sur le plan thématique. Peu de cinéastes américains s’appuient à ce point sur le visuel sans compromettre le narratif. Talbot et son équipe y arrivent bien, ce qui fait de The Last Black Man in San Francisco un film qui mérite notre attention.
TOY STORY 4 : Enfant est devenu grand (et parent)
24 ans après l’original (Toy Story (1995)), ce quatrième volet, en apparence superflu après la conclusion du troisième opus sorti en 2010, réussit à renouveler la franchise tout en utilisant la même formule : un jouet est perdu. La magie opère. Cette histoire de jouets est la (définitive) fin que nous ne savions pas possible.
À la défense du Phoenix
Le dernier opus de la série X-Men se conclue comme la première trilogie; avec Jean Grey devenant Dark Phoenix. Si ce film n’est pas parfait, il n’est pas le déchet que tous se plaisent à clamer. Cinématographiquement, le film de Simon Kinberg se tient. Narrativement, c’est selon vos goûts parce que pour certains il prend des libertés peu populaires.