The World’s end

Mesdames et messieurs, préparez-vous à un choc cinématographique !  ♥♥♥♥♥

Déjà Scott Pilgrim était un anti-blockbuster à l’antipode de ce que produisent les plus grands studios hollywoodiens !  Avec The World’s end, Edgar Wright remet le couvert et prouve qu’on peut réaliser avec brio un long métrage totalement barré à la fois grand public, drôle, intelligent et …. de science-fiction !
Nous n’en dirons pas plus à ce niveau pour ne gâcher aucun effet de surprise, mais il y a fort à parier pour que TWE en déstabilise plus d’un ! D’autant que, pour une fois, la bande annonce ne montre pas tout (mais quand même beaucoup trop) !
Tout part d’une intrigue presque similaire à la bande de potes de Hangover, à savoir des adultes retombant dans leurs travers adolescents avec leurs soirées de beuveries. Mais contrairement à la saga américaine, TWE permet au contraire à ses protagonistes de vivre les instants les plus exaltants de leur vie…avant la gueule de bois ! Et force est de constater qu’il peut s’en passer des choses !
Écriture des plus soignées, références omniprésentes (Rencontre du Troisième type et Trainspotting notamment) à la fois à la culture pop mais aussi aux meilleures comédies anglaises : Le pari était casse-gueule et pourtant, cela fonctionne à 200% !
Au final, le film dispose de sa propre identité et Edgard Wright réussit la prouesse de réussir une comédie avec effets spéciaux qui n’est pas sans rappeler le déjà bidesque (et très mauvais) The Hosts. Tel un gamin geek à l’énergie folle, il vous emporte dans un délire où l’on ne boude jamais son plaisir de la première à    la dernière minute. Un choc !

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