La guerre nuptiale du réalisateur québécois Maxime Desruisseaux reprend lui aussi les codes de cette esthétique pandémique, mais enlève toute trace de la maladie dans le scénario pour raconter une histoire sur l’amour, la solitude et, si possible, sauver le monde au passage.
La guerre nuptiale : L’émergence d’une esthétique pandémique
