On s’engage dans le dernier film de Falardeau comme on le ferait sur une rivière tranquille où il fait bon voguer, où l’on se laisse bercer. Mais cette rivière qui ne nous secoue jamais n’apporte pas non plus l’excitation de naviguer.
On s’engage dans le dernier film de Falardeau comme on le ferait sur une rivière tranquille où il fait bon voguer, où l’on se laisse bercer. Mais cette rivière qui ne nous secoue jamais n’apporte pas non plus l’excitation de naviguer.