The perks of being a wallflower (Le monde de Charlie)

A l’instar de Ruby Sparks, « The perks of being a wallflower » est une production indépendante US comme on en fait peu. Si le film n’est pas une fantaisie comme son acolyte, il réussit toutefois à réunir diverses générations autour d’une thématique universelle : le passage à l’âge adulte. ♥♥♥♥

Charlie a 16 ans lorsqu’il intègre le lycée. Il est timide et ne connait personne. A travers une personnalité attachante et dévouée, il deviendra bien vite indispensable à Patrick et Sam avec qui le coup de foudre sera inévitable.

 

Nous sommes dans les années actuelles et cette bande de jeunes qui évolue devant nos yeux goute la vie avec un mélange de fougue et de respect du monde adulte. Ni Punk babs (façon Woodstock) ni idéologique, « The Perks of Being a wallflower » est une ode à la vie qui ne tardera jamais à vous procurer un sentiment d’indépendance nostalgique comme vous en avez eu l’envie. Charlie, personne on ne peut plus agréable, est une personnalité auquel le spectateur peu aisément s’identifier et ce, malgré les contrariétés et complexités du personnage.

 

Logan Lerman, façon Jake Gyllenhaall période Donny Darko, est parfait en adolescent réservé. La confirmation d’Ezra Miller (We need to talk about Kevin) et Emma Watson (Harry Potter) viennent compléter un casting parfait pour Stephen Chbosky qui adapte pour l’occasion son propre roman au grand écran. Force est de constater que son premier film ne devrait en aucun cas être le dernier.

 

 

 

Lorsque l’adolescence fait vent de nostalgie, « The Perk of Being a Wallflower » (dont le titre est bien plus évocateur en anglais) vient vous chercher et vous procure une émotion que vous souhaiteriez permanente. La sérénité sans doute ?

 

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