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MA VIE POUR UN DOLAN

Un Dolan sans surprise dans les thèmes peut-on lire à loisir dans la presse, un cinéma nombriliste qui rabâche les obsessions d’un réalisateur qui nous avait habitués à mieux. Mais ce que le film réussit, ce qui filtre entre les tics de réalisation, entre les manques de subtilité, c’est l’honnêteté d’un romanesque.

Juste la fin du monde: comment j’ai tué Mommy!

Dolan est volubile, il tombe souvent juste, mais il n’a malheureusement pas encore trouvé la manière de le faire en toute simplicité. On pardonnait à J’ai tué ma mère la naïveté et l’insouciance d’une première œuvre qu’on imputait aux maladresses d’un débutant. Seulement, après 5 films, le risque est de lasser un auditoire qui a peut-être encensé trop vite un réalisateur conforté dans l’image que l’on a de lui. Car malgré des débuts prometteurs, Dolan n’a rien inventé.

Le cinéma Québecois

Il existe depuis plusieurs décennies au Québec une vraie culture cinématographique. Alors que dans les années 80, les sorties de films québécois pouvaient se compter …