Citizen Kane

Classé depuis des années comme meilleurs films de l’histoire du cinéma, cette réalisation d’Orson Welles datant de 1941 vaut essentiellement pour ses divers aspects techniques (pour l’époque) ; Ajoutons à cela l’âge de Welles (24 ans) et les diverses actions menées par William Randolph Hearst afin de ruiner le film.

« Citizane Kane » s’ouvre sur la mort de Charles Foster Kane,  qui avait fait fortune dans le milieu de la presse. Au moment de son dernier souffle, il prononce le mot de « Rosebud » que le spectateur sera amené à chercher tout au long du film.
Pourquoi ce mot ? Et surtout, est-ce un lien avec sa mort      ?
Non seulement le film est raconté en flash-back (une prouesse  pour l’époque) mais il dispose d’un scénario fort intéressant qui laisse paraître pour chaque acte (la vie de Kane est alors présentée sous divers portraits) un visage différent au personnage principal.
Niveau technique la profondeur de champ est alors inventée (et sans doute sur-utilisée) à la fois dans les zones d’ombre et de lumière.
Autant de qualités pour l’époque qui ont permis de faire de  Citizane Kane un classique !

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