La précision du grain de ses images d’un noir et blanc paradoxalement très lumineux, présenté à travers des cadrages minutieux, crée des images riches et épurées à la fois, et surtout très évocatrices.
Cold War : L’amour des deux côtés du mur

ON AIME le cinéma
La précision du grain de ses images d’un noir et blanc paradoxalement très lumineux, présenté à travers des cadrages minutieux, crée des images riches et épurées à la fois, et surtout très évocatrices.
Nous voici donc devant un film qui décompose le cliché pour revenir à l’humain et propose une touchante et mélancolique réflexion sur la filiation et le temps qui passe.
Sans transcender le genre, le traitement sensible et naturel que la cinéaste apporte à son histoire et à sa protagoniste lui confère un charme indéniable et lui permet de justifier son existence dans la marée de films de la même catégorie.
Hommage aux westerns spaghetti ? Trip de LSD sur pellicule ? Film expérimental ? Poème sensoriel ? Tableau vivant d’art contemporain ?