Olivier Godin s’impose encore comme l’un des cinéastes québécois les plus importants, en nous offrant peut-être son film le plus accompli et le plus savoureux.
Il n’y a pas de faux métier : Ode à la folie des mots

Olivier Godin s’impose encore comme l’un des cinéastes québécois les plus importants, en nous offrant peut-être son film le plus accompli et le plus savoureux.
Un film qui laissera une partie du public froid mais qui risque d’aller chercher certains en quête de challenge cinéphilique.
Sur son site internet, l’Office national du film du Canada propose une très belle sélection d’oeuvres LGBTQ2+. En voici cinq.
Nous suivons la reconstitution d’une mission que s’est donnée une équipe de plongeurs pour aller récupérer le corps de Deon Dryer.
Un éducateur au sein d’un établissement religieux de l’est du Québec des années quarante tente de donner la fougue de l’apprentissage, outre les valeurs catholiques, à ses étudiants en décelant certains mystères entourant l’arrivée des Vikings en sol québécois.
Un jeune criminel se retrouve dans une prison d’Abidjan en Côte d’Ivoire. Selon une tradition du pénitencier, lors de la nuit de la lune rouge, un nouveau venu doit raconter des histoires toute la nuit.
Paterson est le 12e long-métrage d’une des plus grandes figures de proue du cinéma d’auteur américain, l’irremplaçable Jim Jarmusch, qui nous livre ici une œuvre à la fois parfaitement maîtrisée tout en étant en décalage de son temps.