La réalisatrice aime d’un amour inconditionnel ce personnage à qui elle pardonne tout. Il est sans cesse magnifié à l’image du début du film où sa silhouette se dégage du brouillard dans le halo de la lune. Cependant, le spectateur lui, manque d’empathie à son égard ayant du mal à comprendre ses choix et ses motivations dans un récit malheureusement trop souvent elliptique.