Planes

Un nouveau Disney bien decevant  ♥

Chaque jour, alors qu’il pulvérise des traitements agricoles sur les récoltes, Dusty se prend à rêver qu’il pourrait voler en compétition, au milieu des avions les plus rapides au monde. Seulement voilà, Dusty n’a pas vraiment le      gabarit d’un champion, et en plus, il est sujet au vertige ! Comme il n’est pas du genre à renoncer, il fait appel à Skipper, un as de l’aéronavale, pour l’aider à se qualifier lors des éliminatoires du Grand Rallye du Tour du Ciel et ainsi défier sur son terrain Ripslinger, le redoutable tenant du titre. Et c’est au-dessus du monde de « cars », avec l’aide d’une hilarante flottille de casse-cou volants venus des quatre coins de la planète, que Dusty va déployer ses ailes pour relever, sous les yeux des spectateurs du monde entier, le plus grand défi de sa vie…
À trop vouloir étirer la sauce, on obtient de l’eau coloré et c’est exactement ça qui se produit ici. Changez les automobiles de Cars par des avions et mélangez la scénario du premier volet et de celui de Babe et sans aucune surprise vous obtiendrez Planes. Disney ne se cache pas    d’avoir réutilisé le principe du monde des moyens de transport, puisque le film s’ouvre sur une indication : « The World of Cars ».
Cars était co-produit par Pixar et Disney, ici avec Planes, Disney fait cavalier seul et c’est là que ça tire de l’aile. Pixar dans ces longs métrages atoujours réussit à être référentiel au genre qu’il investiguait, dans les deux premiers volet de Cars les hommages au film traitant    d’automobile foisonnent jusqu’au voix de certains personnages, cependant dans Planes rien, qu’une histoire banale, un peu vide, et dont la seule morale est que la plus grande satisfaction    personnelle possible est de finir dans l’armée de l’air des États-Unis d’Amérique.
Et graphiquement rien de très innovant non plus, les personnages sont juste assez typés    pour présager que des peluches/figures vont envahir les raillons des jouets des grands magasins. En Prime vous aurez droit à quelques blagues sur les Canadiens Français, qui prouve que Disney ne  sait pas la différence entre le Québec et la France. Et quand un malheur n’arrive jamais seul, le studio a annoncé que ce film allait donné naissance à une trilogie. 🙁

Laurent

**class!K**

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