Pour moi, de se mettre en drag et de monter sur la scène, c’est un geste politique et un manifeste pour la liberté. C’est faire éclater les codes, c’est requestionner toutes les normes. C’est vraiment une libération.
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Actu
Entrevue avec Pascal Plante : Les chambres rouges
C’est avec la productrice du film Dominique Dussault que l’on a entendu parler du phénomène sociologique des groupies de tueur en série.. On se questionnait des années avant le travail d’écriture : « mais qui sont ces femmes ?». On se disait que ce serait des personnages intéressants, qu’il faudrait essayer de les comprendre, que ce serait un contre point à presque tous les films de tueurs en série qui sont, soit à propos de l’enquête, soit le portrait du tueur lui-même. Dans un monde où le true crime est ultra populaire, on se disait que parmi les spectateurs, c’est tout à fait plausible que des gens de la vie ordinaire se rendent dans les salles d’audience.
On y a cru : Tou.te.s en salles, quand nos salles nous ouvraient leurs portes
Après 110 jours sans grand écran, Montréal retrouvait ses salles début juillet dernier. L’équipe de Cinémaniak – masquée et gantée – était curieuse de rencontrer …
Jeanne “Thunberg” : au nom de la mère, de la fille et de la France
Greta Thunberg, sors de ce corps !
MIDSOMMAR : LUMIÈRE EXTRÊME
Avec Midsommar, son second film, Ari Aster propose une toute autre exploration du genre de l’horreur. Si visuellement ses deux longs métrages n’ont pas de véritable connexion, Aster semble poursuivre son exploration de la maladie mentale comme thématique. Une œuvre unique qu’il est nécessaire de déchiffrer et démystifier.
LES FILMS RÉALISÉS PAR DES QUÉBÉCOISES QUE L’ON ATTEND EN 2019 – Partie 2
Cinémaniak termine cette série ON COMPILE sur les films par des réalisatrices que l’on attend en 2019 en retournant chez nous! Signe que notre cinématographie est vivante, on ajoute cinq autres réalisations par des Québécoises que l’on attend cette année.
Sur les traces de Depardon
À travers une économie de moyens qui soutient solidement son projet esthétique, Depardon saisit le temps qui passe : les lieux sont les mêmes, les gestes aussi. Les inquiétudes également. Et c’est cette conscience du temps qui devient épais sur la pellicule. Le temps chez Depardon est un personnage autant que ses sujets.
LES FILMS RÉALISÉS PAR DES AUStraliennES et anglaises QUE L’ON ATTEND EN 2019
Avec la sortie le 7 juin dernier de La femme de mon frère de Monia Chokri (notre critique) qui était dans notre premier article de …